« Ensemble on voit, on ressent, on encapsule l’amour, l’énergie, l’excitation et la joie d’un mariage. Que ce soient les moments simples, les détails (grands ou petits) ou les magnifiques portraits, nous comprendrons et transmettrons aux autres le lien qui unit les futurs mariés, et mettrons tout notre coeur et notre âme à faire des images pleines de sens. » Sanjay et Roshni Jogia sont EYE Jogia Photography de Londres – répertoriés parmi les 6 meillerus photographes de mariage du monde par l’anglais « Professional Photographer Magazine » en 2014. Eye Jogia est spécialisé en photographie de mariages asiatiques et indiens, dans un style alliant documentaire, photojournalisme et mode artistique, sur Londres, toute l’Angleterre, l’Europe, les Etats Unis, la Chine, la Thaïlande et l’Afrique. Le couple décrit son travail comme fait « d’amour et de lumière » et nous sommes heureux d’interviewer Sanjay Jogia (L’âme) de Eye Jogia pour en savoir plus sur son travail, ses influences, son style photogrpahique et l’importance des papiers Fine Art Hahnemühle dans l’immortalisation des luxueux mariages que lui et son épouse photographient.
Quand avez-vous découvert votre passion pour la photographie?
J’étais assez jeune. Mon père travaillait à l’usine locale Kodak depuis plus de 30 ans, et cela a pas mal influencé ma jeunesse. Comme la plupart des garçons de 8 nas j’ai voulu savoir comment marchait ‘lappareil de papa, donc je le lui ai « emprunté » et l’ai ouvert poru comprendre ce qui s’y passait. Je l’ai réassemblé bien sûr… et jusqu’à aujourd’hui il n’est toujours pas au courant que j’ia fait ça.
Comment en êtes vous venu au monde de la photographie de mariage?
J’ia continué à photographier à l’école et à l’université, où j’apprenais l’architecture, et continué pendant que je devenais architecte. Mais quand j’ai eu 15 ans, mon oncle s’est marié à Sydney, en AUstralie, et bien sûr mon père avait son appareil avec lui et il m’a laissé l’utiliser, alors j’ai décidé de m’amuser pendantq ue le photographe officiel dirigeait la foule pour poser, ce qui faisait bizarre et peu naturel. L’avantage d’être un gamin avec un apapreil photo, c’ets que personne ne fait attention à ce que vous faites, alors je pouvai sprnedr emon temps pour attendre qu’il se passe quelque chose d’intéressant à photographier pour ne pas gâcher de pellicule; c’était donc les prémisses de mon style photojournalistique.
Lequel de vos projets vous a ouvert les portes du marché professionnel?
Une de nos amies nous a appelé un jour au sujet de la soeur de son petit ami, qui se mariait, et à qui elle m’avait chaudement recommandé pour photographier le mariage, en se basant sur ce qu’elle savait de mon travail, de mon style (qui était une combinaison de photojournalisme, photo d’architecture et portraits) , pour me dire que je devais m’attendre à un appel de sa part. Bien sûr elle a appelé, et m’a engagé pour mon tout premier mariage. C’était il y a 8 ans maintenant.
Qui vous inspire le plus?
C’est une question difficile car ce n’est pas tant « qui » que « quoi ». Ce qui m’inspire, ce ne sont pas des personnes, mais le cinéma, surtout des films noirs, dont je décompose les scènes. Et l’art; en particulier les grands maîtres. Et le smonde de la mode, surtout les campagnes de publicité.
Comment décririez vous votre style photographique?
Mon style est un équilibre d’approche documentaire, disons à 95%, et de portraits stylisés, inspirés par la mode. Comme cela, dans tous nos mariages, les clienst expérimentent le meilleur des deux mondes. Ils sont à leur avantage sur les portraits, avec des poses étudiées, et l’esprit de l’événement est capturé grâce à l’approche photojournalistique.
Quel est le plus grand challenge dans la photogrpahie de mariage?
Chaque couple, et donc chaque événement, est différent. Leur événement reflète leur personnalité, et donc l’énergie ets différente à chaque fois. De plus, avec les mariages, on doit exercer des muscles créatifs et photographiques multiples, à chaque mariage, il y a des éléments de photojournalisme, de portraits, de paysages, de photographie de lieux, de photogrpahie de produits, avec tous les plus petits détails, et avec moi (car je suis architecte et accro aux voitures) il y a aussi de la photographie d’architecture et d’automobile. Donc pour réussir sur tous ces plans en un événement, le mariage est un énorme challenge en soi.
Quelle importance accordez vous au tirage de vos oeuvres?
C’est énorme! Cela immortalise les images, soudain il y a une valeur inestimable du travail réalisé. Beaucoup de personnes n’accordent pas vraiment d’importance aux fichiers digitaux, mais dès qu’ils voient les tirages, il y a un élément émotionnel qui entre en jeu. De plus, mes images sont généralement faites pour être imprimées, montrées, et appréciées sensoriellement, d’une façon ou une autre.
Quel est votre papier Hahnemühle favori, et pourquoi?
J’adore absolument le Photo Rag Bright White 310gsm pour sa texture et parce que je peux lui faire confiance pour les tons de blanc : ils sont représentés sur mes images exactement comme je les imaginais au moment de la post-production!
Avez vous un projet dont vous rêvez et que vous allez réaliser un jour?
Oui! Je travaille dessus en ce moment, mais je ne peux pas en parler à cause du planning.
Plus d’infos sur les mariages de luxe que nous faisons, et aussi le spublicités, les éditoriaux et photographies automobiles pour lesquelles nous développons notre équipe, notre approche, et notre vision globale C’est très excitant!